La communion des fans avec leurs idoles ne connait plus de limites. Syd March est employé d'une clinique spécialisée dans la vente et l'injection de virus ayant infecté des célébrités. Mais il vend aussi ces échantillons pour son propre compte, à de puissantes organisations criminelles. Sa méthode pour déjouer les contrôles de la clinique : s'injecter les virus à lui-même... Porteur de du dernier germe, mortel, ayant infecté la star Hannah Geist, Syd devient une cible pour les collectionneurs...
Chili, policier en civil et «Shoes», son coéquipier, comptabilisent un impressionnant record d'arrestations. Après une opération à haut risque, ils s'attendent à recevoir une grosse récompense en guise de promotion. Mais leurs supérieurs corrompus refusent pour des raisons obscures. 8 ans de bons et loyaux services, de travail acharné et honnête, sans aucun pot-de-vin ni trafic de preuves ; et tout cela pour quoi ? Alors que Chili ne s'en sort pas financièrement et que «Shoes» se serre la ceinture pour subvenir aux besoins de sa famille, Chili a une idée : infiltrer le plus gros gang de braqueurs de convoyeurs de fonds et partager la somme récoltée avec son partenaire. Mais ce dernier est capturé par les malfaiteurs. Quand Chili découvre en somme que des innocents vont être tués durant l'assaut, il doit faire un choix : continuer ou arrêter le gang pour épargner des vies, dont celle de son meilleur ami.
Dans les années 1960, le professeur Ruckus Mandelbaum confère aux êtres humains des superpouvoirs grâce au « badge Titan ». Il donne naissance alors à une famille inhabituelle de super-héros qui acquièrent le respect, la célébrité et le prestige. Mais au fil du temps, la famille se délite. En 1979, deux des premiers super-héros font des efforts extraordinaires pour récupérer leur insigne.
Ayant involontairement empoisonné le cheval d'un agent de la police montée, Kenny se retrouve en prison. Pour rassembler l'argent de sa caution, ses trois meilleurs potes décident de créer un service de livraison à domicile de marijuana. Ils vont pour cela, puiser dans les stocks d'échantillons de l'Office du contrôle pharmaceutique.