Saturday Night Live est une émission de divertissement retransmise en direct depuis le Studio 8H du GE Building au Rockefeller Center de New York. Diffusé le samedi soir sur la chaîne NBC, le programme se compose de sketches, de parodies et de performances musicales. Il s'agit de l'un des programmes phares de la télévision américaine, qui a permis l'émergence de nombreuses stars de la comédie lors des trente dernières années.
En 1964, les Beatles prennent le train pour donner un concert. Le grand-père de l'un d'eux, qui les accompagne et dont la devise est de semer le désordre et l'anarchie partout où il passe, disparaît soudain avec son petit-fils. Commence alors une course folle pour les retrouver avant que le concert ne commence.
Deux musiciens de jazz au chômage, mêlés involontairement à un règlement de comptes entre gangsters, se transforment en musiciennes pour leur échapper. Ils partent en Floride avec un orchestre féminin. Ils tombent illico amoureux d'une ravissante et blonde créature, Alouette, qui veut épouser un milliardaire.
À Vienne, en novembre 1823. Au cœur de la nuit, un vieil homme égaré clame cette étonnante confession: «Pardonne, Mozart, pardonne à ton assassin!». Ce fantôme, c'est Antonio Salieri, jadis musicien réputé et compositeur officiel de la Cour. Dès l'enfance, il s'était voué tout entier au service de Dieu, s'engageant à le célébrer par sa musique, au prix d'un incessant labeur. Pour prix de ses sacrifices innombrables, il réclamait la gloire éternelle. Son talent, reconnu par l'empereur mélomane Joseph II, valut durant quelques années à Salieri les plus hautes distinctions. Mais, en 1781, un jeune homme arrive à Vienne, précédé d'une flatteuse réputation. Wolfgang Amadeus Mozart est devenu le plus grand compositeur du siècle. Réalisant la menace que représente pour lui ce surdoué arrogant dont il admire le profond génie, Salieri tente de l'évincer.
Un mauvais garçon, Wade alias Cry-Baby, moins féroce qu'il ne cherche à le paraître, tombe éperdument amoureux d'une jeune fille on ne peut plus respectable. Méchamment repoussé par l'establishment, pourchassé par la police, humilié, lui qui semait le mal ne tarde pas à découvrir les tragiques extrémités auxquelles la passion peut conduire.
Wayne Campbell (Mike Myers) a transformé la cave de ses parents en studio TV. Il anime chaque nuit avec son copain Garth (Dana Carvey) Wayne’s World, une émission musicale hyper-fauchée et déjantée. Ces deux adolescents prolongés sont fans de hard-rock et s’expriment dans un langage codé : “robotouffe”, “mirthmobile”, “cha-wingue”, “mégateuf”… Leur succès grandissant, ils sont contactés par un jeune producteur aux dents “top longues” (Rob Lowe) pour être diffusés à travers tout le pays…“Le plus grand film du monde” (dixit Wayne) est la “méga-bonne” surprise du Box-office 92. L’adaptation est signée Alain Chabat et Dominique Farrugia. Excellent !
Harry, le disc-jockey subversif d'une radio-pirate, met en emoi tous les étudiants d'un campus. Son cynisme et sa rage trouvent un écho chez les collégiens frustrés d'une petite ville. Harry tient à garder l'anonymat. Nora, jeune étudiante fascinée par la personnalité d'Harry, entreprend de découvrir sa véritable identité. Elle n'est pas la seule, l'école et les forces de l'ordre aimeraient bien faire taire cette voix insolente.
A bord du "Virginian", paquebot de croisière, Danny, un mécanicien, découvre un nouveau-né abandonné dans la salle de bal désertée. Il décide de l'élever et le baptise du nom de 1900. À la mort de Danny, l'enfant, adopté par l'équipage, grandit sur le navire, voguant d'un continent à l'autre. Un jour, 1900 s'assoit au piano et révèle un don extraordinaire pour la musique. Adulte, il devient un pianiste virtuose. Les plus grands jazzmen lui rendent visite. 1900 refuse de quitter le navire. Jusqu'au jour où celui-ci est promis à la démolition.
Le jour où Guy décide de jouer de la batterie dans un groupe de rock local, il est loin d'imaginer que ses amis et lui-même vont connaître une carrière fulgurante et un succès sans précédent. Un mois après avoir signé un contrat avec la maison de disques Play-Tone Records, le groupe est lancé sous le nom "The Wonders" et leur premier 45-tours atteint rapidement le sommet des hit-parade... avec toutes les conséquences que cela comporte.