Percy Fawcett est un colonel britannique reconnu et un mari aimant. En 1906, alors qu’il s’apprête à devenir père, la Société géographique royale d'Angleterre lui propose de partir en Amazonie afin de cartographier les frontières entre le Brésil et la Bolivie. Sur place, l’homme se prend de passion pour l’exploration et découvre des traces de ce qu’il pense être une cité perdue très ancienne. De retour en Angleterre, Fawcett n’a de cesse de penser à cette mystérieuse civilisation, tiraillé entre son amour pour sa famille et sa soif d’exploration et de gloire…
Au XIXe siècle à Besançon se déroule le procès de Julien Sorel, inculpé pour tentative de meurtre envers Madame de Rénal. En attendant le verdict, Julien revit son passé : simple fils de charpentier, sa volonté de s'élever socialement le conduit à devenir précepteur des enfants de monsieur de Rénal. Après avoir séduit sa femme, il s'éloigne de la famille pour mettre un terme aux rumeurs et s'entiche de Mathilde, la fille du Marquis de la Mole. Madame de Rénal, rongée par les remords et la jalousie adresse une lettre d'aveux au marquis afin de révéler la liaison passé de son futur gendre...
Des portes explosent. Les policiers casqués, armés font irruption de nuit dans des appartements, cris, coups : défilent à l’écran les visages des interpellés. Des beurs, des blacks, des blancs. Tous ont moins de vingt ans. Ceux que la presse appellera les « barbares ». On est en février 2006. La police quelques heures plus tôt a trouvé le corps moribond d’Ilan (Halimi) sur le bord d’une route à Sainte-Geneviève-des-Bois, nu, brûlé à 80 %. Kidnappé, il a été séquestré pendant 24 jours. Il était juif. Et donc supposé avoir de l’argent. Par flash-back, le film déroule alors le fil des événements depuis le kidnapping. Courses poursuites entrecoupées de scènes où on assiste au calvaire de la victime. Moderne danse macabre qui en dit long sur la « marche » de nos sociétés.
Lors de l'ouverture du testament de son grand-père russe, Sacha est choqué de découvrir que le vieil homme ne lui laisse rien, à part un vieux carnet à la couverture de cuir râpé, contenant une centaine de pages vierges. Dans une ultime lettre, le grand-père lui assure que cet objet est le plus grand trésor dont il pourrait rêvé et qu'il a plus de valeur que tout l'or du monde. Etait-il devenu fou au moment de la rédaction de son testament ? Bientôt, Sacha aperçoit une phrase en russe sur la couverture du carnet : «Un souvenir par page». Ce premier indice lui fait comprendre que ces pages blanches contiennent un mystérieux secret, qui va bouleverser sa vie...
En 1945, le cinéaste Alfred Hitchcock est engagé pour superviser le montage d'un documentaire produit par l'armée britannique sur la libération des camps de concentration nazis. Un film qui était destiné à montrer au peuple allemand les atrocités qui avaient été commises en son nom par les nazis. Une fois le film terminé, celui-ci fut cependant enterré pour des raisons politiques et jamais diffusé. Il fut alors simplement déposé à l'Imperial War Museum, à Londres, où dans les années 1980, les pellicules y ont été redécouvertes par un chercheur américain. Le film a fait l'objet d'une restauration complète respectant les choix du cinéaste. "Night Will Fall" retrace l’histoire de ce film pas fini, qui était connue longtemps sous le nom "The missing Hitchcock"...
Le corps de Melquiades Estrada, paysan mexicain, est retrouvé en plein désert, où il a été rapidement enterré après son assassinat. Par qui ? Pete Perkins, contremaître de la région et meilleur ami de Melquiades, va mener lui-même l'enquête que les autorités locales refusent d'assumer. Seul garant, dans cette étrange région du Texas, d'une réelle humanité, il va découvrir le meurtrier, lui faire déterrer le corps et offrir à son ami le plus beau voyage de sa vie, vers une sépulture honorable dans son Eldorado natal, le Mexique. Il va aussi offrir à son assassin une magnifique leçon sur la vie des hommes, le sens des valeurs, le respect de la vie.