Bubblegum Crisis Tokyo 2040 est une série d'anime japonaise produite par Anime International Company et financée par ADV Films. Une reprise de l'animation vidéo originale de 1987 Bubblegum Crisis, la série créée à Tokyo TV le 8 octobre 1998 où elle a duré 26 épisodes jusqu'à sa conclusion le 31 mars 1999. Toshiba EMI a publié les épisodes sur VHS et Laserdisc à travers 13 volumes , chacun contenant deux épisodes. Le premier volume a été publié le 21 janvier 1999; le volume final a été libéré le 26 juillet 2000. La série a été plus tard libérée sur le DVD, cependant les versions japonaises étaient simplement les versions américaines de DVD codées pour jouer pour la région 2. Set in
Deux musiciens de jazz au chômage, mêlés involontairement à un règlement de comptes entre gangsters, se transforment en musiciennes pour leur échapper. Ils partent en Floride avec un orchestre féminin. Ils tombent illico amoureux d'une ravissante et blonde créature, Alouette, qui veut épouser un milliardaire.
Rubber Duck est rejoint par ses anciens collègues camionneurs dans un mouvement contestataire contre le shérif Wallace qui agit comme un véritable tyran. Leur convoi parcourt les routes du Nouveau-Mexique jusqu'au moment où les forces de l'ordre les arrêtent en les empêchant de poursuivre. L'affaire commence alors à se médiatiser...
Dale McKussic veut tirer un trait sur son passé de dealer. Son meilleur ami, le policier Nick Frescia souhaite sincèrement que Dale se range, mais ses supérieurs exercent sur lui de fortes pressions pour qu’il le coince… Le duo de choc est confronté aux charmes de la superbe Jo Ann Vallerani dont ils tombent tous les deux amoureux. Les embrouilles ne font que commencer…
Privé, à la suite de son divorce, de ses trois enfants qu'il adore, Daniel Hillard, doubleur de dessins animés, met en œuvre tous ses talents d'acteur et d'imitateur et se transforme en respectable gouvernante irlandaise. Lorsque Mme Doubtfire se présente dans la famille Hillard, elle est acceptée à l'unanimité.
Wayne Campbell (Mike Myers) a transformé la cave de ses parents en studio TV. Il anime chaque nuit avec son copain Garth (Dana Carvey) Wayne’s World, une émission musicale hyper-fauchée et déjantée. Ces deux adolescents prolongés sont fans de hard-rock et s’expriment dans un langage codé : “robotouffe”, “mirthmobile”, “cha-wingue”, “mégateuf”… Leur succès grandissant, ils sont contactés par un jeune producteur aux dents “top longues” (Rob Lowe) pour être diffusés à travers tout le pays…“Le plus grand film du monde” (dixit Wayne) est la “méga-bonne” surprise du Box-office 92. L’adaptation est signée Alain Chabat et Dominique Farrugia. Excellent !
Détective privé alcoolique et cynique, Joe Hallenbeck fut autrefois un héros des services secrets. Sa carrière a tourné court, tout comme celle du footballeur noir Jimmy Dix, qu’il rencontre dans une boîte de nuit où se produit Cory. L’assassinat de cette dernière va lancer les deux hommes dans une enquête difficile et musclée…
Du réalisateur de la trilogie Very Bad Trip et Joker, Road Trip est un classique de la comédie universitaire. Quand un étudiant d'Ithaca filme son coup d'un soir avec une belle fille de la sororité, il découvre qu'un de ses amis a accidentellement envoyé la vidéo porno à sa petite amie. Dans sa frénésie, il doit emprunter une voiture et prendre la route dans une tentative désespérée d'intercepter la vidéo. Avec une distribution talentueuse qui comprend Breckin Meyer, Rachel Blanchard, Seann William Scott, Amy Smart, Fred Ward, Tom Green, Anthony Rapp, Andy Dick et Ethan Suplee.
Dans les années 70, William Miller, un adolescent de quinze ans, ne vit que pour la musique rock. Ce qu'il souhaite le plus au monde, c'est écrire des articles sur cette musique qu'il aime tant.Il envoie un essai au magazine Rolling Stone dans l'espoir de devenir journaliste. Son talent n'est pas passé inaperçu : on est prêt à l'envoyer suivre le groupe Stillwater en tournée afin qu'il fasse un reportage sur eux.Le rêve devient réalité ; malgré les objections d'Elaine, sa mère, William s'engage dans cette folle aventure.Il n'est toutefois pas facile de gagner la confiance des musiciens, surtout lorsqu'on est journaliste. William prouve rapidement aux membres de Stillwater qu'il est avant tout un admirateur inconditionnel de leur musique. Au cours de leur tournée, il abandonne peu à peu la passivité de son rôle d'observateur pour participer à la vie du groupe.