Deux musiciens de jazz au chômage, mêlés involontairement à un règlement de comptes entre gangsters, se transforment en musiciennes pour leur échapper. Ils partent en Floride avec un orchestre féminin. Ils tombent illico amoureux d'une ravissante et blonde créature, Alouette, qui veut épouser un milliardaire.
Une jeune libraire du village new-yorkais, adepte de l'empathie, se voit propulsée, par un journal, à Paris pour présenter la collection d'un grand couturier. Là elle rencontre le grand maître « empathicaliste » qui ne reste pas insensible à ses charmes tandis que le photographe du journal la poursuit de ses assiduités. Une musique de Gershwin pour cette suave comédie musicale qui propose un Paris très hollywoodien.
À Vienne, en novembre 1823. Au cœur de la nuit, un vieil homme égaré clame cette étonnante confession: «Pardonne, Mozart, pardonne à ton assassin!». Ce fantôme, c'est Antonio Salieri, jadis musicien réputé et compositeur officiel de la Cour. Dès l'enfance, il s'était voué tout entier au service de Dieu, s'engageant à le célébrer par sa musique, au prix d'un incessant labeur. Pour prix de ses sacrifices innombrables, il réclamait la gloire éternelle. Son talent, reconnu par l'empereur mélomane Joseph II, valut durant quelques années à Salieri les plus hautes distinctions. Mais, en 1781, un jeune homme arrive à Vienne, précédé d'une flatteuse réputation. Wolfgang Amadeus Mozart est devenu le plus grand compositeur du siècle. Réalisant la menace que représente pour lui ce surdoué arrogant dont il admire le profond génie, Salieri tente de l'évincer.
Memphis, 1956. Le pianiste chanteur Jerry Lee Lewis, alors âgé de 21 ans seulement, enregistre un premier disque sous la houlette du producteur Sam Philips, celui-là même qui lança Elvis Presley. Le succès est immédiat, mais la vie de l'Américain bascule lorsqu'il se marie avec sa cousine, âgée de treize ans. Leur union fait scandale, mais Jerry Lee Lewis surmonte cette épreuve grâce à ce qui l'a toujours accompagné depuis ses débuts : le rock'n'roll.
En 1963. Bébé – de son vrai prénom Frédérique – fille d’une riche famille, passe ses vacances avec ses parents et sa sœur à la pension de la famille Kellerman dans l’État de l’Oregon. Elle va être confrontée à un monde qui lui est complètement étranger, celui de la danse, et vivre un histoire d’amour avec Johnny, l’un des professeurs de danse de l’établissement, issu d’un milieu social très différent. Film à petit budget d’Émile Ardolino, il deviendra l’un des plus grand succès des années 80.
Sans dialogue, «Baraka» est une réflexion sur l'histoire du monde à partir du seul langage universel existant: image, son et musique. Utilisant le format 70 mm, le réalisateur et son équipe ont parcouru le monde pendant quatorze mois, n'hésitant pas à aller dans les sites les plus reculés et les plus rares de la Terre.
Après avoir enduré moult ruptures et peines de cœur, Rob Gordon se voit brusquement plaqué par sa compagne Laura. Encore sous le choc, il s'efforce de comprendre les raisons de cette nouvelle débâcle. Dressant le Top 5 des ruptures qui l'ont le plus marquées, il décide de relancer ses ex dans l'espoir qu'elles lui fourniront la clé de l'énigme.
Dans un petit village minier du Nord‐Est de l’Angleterre, Billy, 11 ans, découvre avec stupeur qu’un cours de danse partage désormais les mêmes locaux que son club de boxe. D’abord effaré, il devient peu à peu fasciné par la magie de la gestuelle du ballet, activité pourtant trop peu virile au regard de son père et de son frère Tony, mineurs en grève. Billy abandonne les gants de cuir pour assister discrètement aux leçons de danse professées par Mme Wilkinson. Repérant immédiatement un talent potentiel, elle retrouve une nouvelle énergie devant les espoirs que constitue Billy. Les frustrations larvées explosent au grand jour quand son père et son frère découvrent que Billy a dépensé l’argent consacré au cours de boxe pour des cours de danse. Partagé entre une famille en situation de crise et un professeur de ballet têtu, le jeune garçon embarque alors dans un voyage à la découverte de lui‐même.