Nous sommes en 2005, Jack est un archéologue qui a quelques ennuis financiers. Depuis longtemps, il fait le même rêve dans lequel il serait le général Meng Yi. Ce rêve le trouble parce que les détails lui paraissent si nets, qu'il en a une sensation de réalité. Tout commence par une mission du général Mang Yi, qui, avec un bataillon, doit aller chercher la princesse Ok-Soo. Par la suite, le général affronte un amoureux intrépide, puis fait face aux complots au sein du palais impérial.
Rachel a 40 ans, pas d'enfant. Elle aime sa vie : ses élèves du lycée, ses amis, ses ex, ses cours de guitare. En tombant amoureuse d’Ali, elle s’attache à Leila, sa fille de 4 ans. Elle la borde, la soigne, et l’aime comme la sienne. Mais aimer les enfants des autres, c’est un risque à prendre…
Madame Satã s'inspire librement du personnage de Joao Francisco dos Santos (1900-1976), plus connu sous le nom de "Madame Satã", un homme noir d'1m78 et 88 kilos de muscle. Tour à tour malandrin, travesti, bagarreur, cuisinier, héros, taulard, père adoptif de sept enfants, Satã a passé la plupart de sa vie dans les rues chaudes de Lapa, le Montmartre des Tropiques, le Rio bohémien. Madame Satã est le portrait de ce personnage explosif et complexe, à la fois maître généreux, traître cruel et amant dévoué. Ce film retrace également l'émergence de la culture afro-brésilienne urbaine et vibrante du Rio de Janeiro des années qui suivirent l'abolition de l'esclavage au Brésil (1888).
Boris et Dimitri Pizarnik sont médecins dans le quartier chinois à Paris. Ils sont frères et c’est ensemble qu’ils pratiquent leur métier, consacrant tout leur temps à leurs patients. Une nuit, ils sont amenés à soigner une petite fille diabétique que sa mère, Judith, élève seule. Ils tombent tous deux amoureux de Judith. Bientôt, tout sera bouleversé...
De sa naissance au Caire en 1933 à son premier Olympia en 1956, de son mariage avec Lucien Morisse, patron de la jeune radio Europe n°1 aux soirées disco, de ses voyages initiatiques en Inde au succès mondiale de «Gigi l’Amoroso» en 1974, le film Dalida est le portrait intime d’une femme absolue, complexe et solaire… Une femme moderne a une époque qui l’était moins ... Malgré sa disparition tragique en 1987 Dalida continue à rayonner de sa présence éternelle.
En 1937, Katie Morosky et Hubbell Gardiner dansent ensemble au bal de fin d’année de leur université. Qu’ont‐ils en commun, hormis ce pas de valse ? Il est riche et oisif. Elle est pauvre, travaille pour financer ses études et s’est engagée dans un combat militant pour la paix. Un amour sans doute déraisonnable les pousse l’un vers l’autre. Des années plus tard, Katie et Hubbell, qui se sont perdus de vue, se retrouvent à New York. Katie travaille à la radio et milite plus ardemment que jamais, dans une Amérique où commence la chasse aux sorcières du sénateur McCarthy. Hubbell, qui n’a pas su faire fructifier ses talents d’écrivain, tente d’oublier ses échecs dans la boisson…