Byun Hyuk (Choi Si-Won) est le fils d'une famille riche qui dirige une grande entreprise. Il vit une vie heureuse sans réel objectif. Il est confiant avec les femmes, mais il est aussi naïf ce qui n'empêche pas qu'il ait un cœur chaleureux. Un jour, il décide de partir pour vivre dans un studio, dans un quartier plutôt pauvre. Il cachera sa véritable identité à ses voisins. Baek Joon (Kang So-Ra) vit dans le même quartier. Elle travaille à temps partiel pour joindre les deux bouts. Elle est diplômée d'une bonne université, mais elle n'a pas été en mesure d'occuper un emploi dans une entreprise et a dû commencer à travailler à temps partiel. Elle est positive et pleine de justice, mais sa vie change quand Byun Hyuk apparaît
Abbey Neilson est dans la fleur de l’âge. Sur le point de se marier avec l’homme de ses rêves, elle doit prendre soin de Mme Baker, 85 ans, mourante, tourmentée par des hallucinations et obsédée par la vie éternelle. Mme Baker morte, Abbey hérite bien plus qu’une maison, et elle réalise peu après que l’obsession de la vieille dame prend forme, qu’une présence l’occupe… Mme Baker, son fantôme, cherche à posséder Abbey pour survivre à l’épreuve du temps. Abbey doit sauver sa vie, se libérer de l’emprise de Mme Baker. Dans une lutte à vous donner froid dans le dos, Abbey doit se départir d’elle… quitte à la tuer de nouveau !
C'est une histoire d'amour de Han Se-gye (Seo Hyun-jin), actrice de renom. Elle est connue pour ses troubles et fait l’objet de nombreuses rumeurs. Sa vie est un mystère, mais elle souffre en réalité d'un phénomène inhabituel. Chaque mois, à un moment donné, son apparence change pour une personne différente. Elle vit une semaine par mois avec une apparence différente et Seo Do-jae (Lee Min-ki), directrice exécutive d’une compagnie aérienne. Il semble parfait avec une apparence attrayante et une intelligence mais il souffre de prosopagnosie. Il cache ce handicap et s'efforce de mémoriser les gens par leurs habitudes et leurs manières. Le seul visage qu’il puisse reconnaître est celui de Han Se-gye.