Au Brésil, le show télévisé Crime Time plonge chaque soir les spectateurs dans l’enfer des favelas et des gangs sanguinaires. Présentateur vedette de l’émission, Antonio « Tony » Padaratz est une célébrité que tout le monde s’arrache, un homme influent à qui tout semble réussir. Mais il n’en a pas toujours été ainsi. Comment un pauvre petit flic né dans les favelas a-t-il réussi à devenir le roi de l’audimat ? C’est aussi ce qu’Adriano Gantas, un ancien collègue de Tony, semble se demander.
Josie Buhrman a, tant bien que mal, tenté de se reconstruire après le meurtre de son père, l'abandon de sa mère et la trahison dont elle a été victime de la part de sa sœur jumelle, Lanie. Mais les choses vont prendre un tournant inattendu et pour le moins perturbant lorsqu'une journaliste décide de rouvrir, dix-neuf ans après les faits, l'enquête entourant l'assassinat du père de Josie, par le biais de son nouveau podcast à sensation.
Jill Cheyne espère devenir danseuse au Pleasure Garden. Mais arrivée à Londres elle s’aperçoit qu’elle a perdu la lettre d'introduction. Heureusement Patsy Brand, une danseuse du cabaret, lui offre l’hospitalité pour la nuit. Le lendemain, Jill qui n’a pas renoncé à son projet, rencontre le patron du Garden et obtient un engagement. Hugh le fiancé de Jill assiste à son triomphe avant de quitter l’Angleterre pour les tropiques. Mais qu’importe, Jill a obtenu ce qu’elle cherchait : la gloire, la vie facile et des admirateurs argentés…
Dans un poste de police de Los Angeles, des inspecteurs questionnent sévèrement le détective Philip Marlowe, accusé de plusieurs meurtres. Celui-ci raconte alors les faits qui l'ont entraîné dans bien des problèmes depuis le jour où il a accepté de recherché une jeune fille nommée Velma, pour le compte d'un ex-bagnard, "Moose" Malloy.
A Londres, en 1866, Basil Hallward peint le portrait d'un séduisant jeune homme, Dorian Gray. Ce dernier s'amourache de Sybil Vane, une chanteuse de cabaret, mais les conventions rigides de son milieu le font rompre et elle se suicide. En rentrant chez lui, il trouve que son portrait a une expression plus dure, presque cruelle.