La série est centrée sur la vie d'une famille de Denver, les Duncan, excitée à l'idée de la naissance du quatrième enfant : Charlotte alias Charlie. Quand les parents, Amy (une infirmière) et Bob (un exterminateur d'insectes) doivent retourner au travail, ils demandent à leurs trois enfants, P. J., Teddy et Gabe de surveiller Charlie.Les événements de chaque épisode deviennent une séquence dans le « Journal vidéo » que Teddy tient pour sa petite sœur quand elle sera adolescente. Teddy espère que ces vidéos l'aideront à avancer dans la vie tout en évitant les erreurs qu'elle-même a pu faire.Les séquences se terminent toujours par la phrase qui donne à la série son titre : « Bonne chance Charlie ! ».
Un jeune homme rentre à la ferme familiale en Oklahoma, après avoir purgé une peine de quatre ans de prison pour homicide involontaire. La Grande Dépression sévit alors et comme beaucoup d’autres fermiers, sa famille est chassée de son exploitation. Ensemble, ils partent à travers le pays dans l’espoir de trouver, un jour, du travail en Californie. C’est le début d’un périple éprouvant, de camps de réfugiés en bidonvilles de fortunes, dans une Amérique en proie à la misère et à l’oppression…
Atticus Finch, un avocat dans le sud des États-Unis des années 1930 doit défendre un homme noir accusé de viol. Le récit, raconté à travers les souvenirs et le regard de ses enfants Scout et Jem, est parsemé de détails sur la vie et les mentalités de l'époque ainsi que d'anecdotes de voisinages (dont certaines inspirées des souvenirs d'enfance de l'auteur du roman).
Après les premiers pas de l'homme sur la Lune, la NASA décide de poursuivre les vols habités. Jim Lovell qui, deux ans plus tôt, avait participé au vol Apollo 8, est choisi pour diriger la mission Apollo 13. Avec Fred Haise et Ken Mattingly, il suit un entraînement intensif. Une semaine avant le départ prévu, les médecins détectent chez Ken Mattingly des signes de rougeole. À contrecœur, Jim Lovell doit se résigner à le remplacer par Jack Swigert, insuffisamment préparé à son goût. Le jour du lancement, le 11 avril 1970, Apollo 13 décolle de Cap Kennedy, dans l'indifférence générale. Jusqu'au troisième jour, tout se passe bien...
Le narrateur, sans identité précise, vit seul, travaille seul, dort seul, mange seul ses plateaux‐repas pour une personne comme beaucoup d’autres personnes seules qui connaissent la misère humaine, morale et sexuelle. C’est pourquoi il va devenir membre du Fight club, un lieu clandestin où il va pouvoir retrouver sa virilité, l’échange et la communication. Ce club est dirigé par Tyler Durden, une sorte d’anarchiste entre gourou et philosophe qui prêche l’amour de son prochain.
Dans la banlieue de Londres, au début des années vingt, Virginia Woolf lutte contre la folie qui la guette. Elle entame l'écriture de son grand roman, Mrs Dalloway. Plus de vingt ans après, à Los Angeles, Laura Brown lit cet ouvrage : une expérience si forte qu'elle songe à changer radicalement de vie. A New York, aujourd'hui, Clarissa Vaughn, version moderne de Mrs Dalloway, soutient Richard, un ami poète atteint du sida. Comment ces histoires vont-elles se rejoindre, comment ces trois femmes vont-elles former une seule et même chaîne ? La littérature est si puissante qu'un chef-d’œuvre peut, par-delà les époques, modifier irrévocablement l'existence de celles qui le côtoient.
Mary Griffith, fervente pratiquante, a élevé ses enfants selon les principes conservateurs de la foi religieuse. Le destin de la famille va être bouleversé le jour où Bobby décide de confier à son frère aîné un terrible secret : il préfère les garçons. Lorsque sa mère l'apprend, elle met tout en œuvre pour « guérir » son fils, car selon la Bible, Bobby sera condamné à l'Enfer. Mais une tragédie va remettre en cause toutes les convictions de Mary...